Habitant les camps, elles – ils choisissent de s’engager bénévolement comme artisan-s de paix. Ils suivent la première formation pour devenir babamama, intervenants d’Epiceries-SVP, au sein des camps et plus tard comme médiateurs culturels de paix dans leurs villages de retour.
Les personnes déplacées sont victimes de violences. MAIS c’est faire atteinte gravement à leur dignité et leurs droits culturels de ne pas les considérer comme actrices-acteurs de leur propre vie et de la construction de l’avenir.